Ça n'arriverait pas au Canada
Oui mais ça c’est les États-Unis
On peut croire que les raisons de résister au vaccin au Canada sont différentes. Après tout, les oligarques demreurent au sud de la frontière. C’est exact, nous sommes voisins des États-Unis. En réalité, nous sommes plus que des voisins. Presque tous les Québécoises et Québécois, Canadiennes et Canadiens ont franchi la frontière au moins une fois question affaires ou plus communément en vacances. On d’identifie en partie à nos voisins américains. Cette proximité présente des avantages et des inconvénients. Dans le cas de COVID, on peut dire que notre société a été contaminée par le discours des oligarques démocrates et par leur cousin du nord Justin Trudeau qui, il faut s’en souvenir n’a pas d’identité propre, et tient désespérément à appartenir à cette même oligarchie, cette pseudo noblesse sans valeurs qui croit que tout leur est du. Pouvoir politique inclus. Pouvoir de régner sur les autres inclus. Pouvoir d’être riches aux dépens des autres inclus.

Justin Trudeau utilise son obsession vaccinale comme il le fait avec son « féminisme », ou sa « sympathie » pour les Canadiennes et Canadiens qui ont la particularité d’être noir(e)s, ou alors bruns, ou alors hindous, ou alors sikhs, ou bien alors musulman(e)s, chacun séparément, dans sa petite case, chacun demeurant isolé dans son identité, tout comme il le fait avec la communauté homosexuelle ou transgenre. Il divise. Isole. Puis ensuite, il mobilise tous ces groupes et sous groupes en utilisant comme bouc émissaire les Canadiennes et Canadiens qui sont fondalement racistes, homophobes et transphobes. Le fameux racisme systémique que les oligarques lui ont si gentiment prêté.
Trudeau monopolise l’espace public en martelant vaccin, vaccin, vaccin pendant qu’il dépense des milliards sans en être responsable devant qui que ce soit. Sans qu’on sache exactement qui reçoit quoi et comment. Il agit exactement comme les démocrates le font aux États-Unis en ayant recours aux médias d’état et autres intéressés à obtenir leur part du gâteau. Il faut en être conscients. Nous ne sommes pas les États-Unis, mais vivons exactement le même phénomène.