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Amira Elghawaby, un leurre.

INTRODUCTION

Il est plus important de se questionner sur l’existence du poste de « représentant spécial du Canada chargé de la lutte contre l’islamophobie » que sur la personne qui l’occupe. Ce qui suit tente de démontrer pourquoi.

Ci-contre, vous trouverez les descriptions et d’Amira Elghawaby et du mandat qui est confié à la personne qui occupe le poste. La source est citée, puis le texte suit, modifié par l’ajout de caractères gras, le tout suivi de commentaires.

Les déclarations passées d’Amira Elghawaby ne sont pas adressées ici, elle sont somme toute, comme la personne elle-même, d'une importance très mineure lorsque l’on considère ce qui suit.

SOURCE:

https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/services/representante-lutte-contre-islamophobie.html

TEXTE OFFICIEL :

La représentante spéciale du Canada chargée de la lutte contre l’islamophobie Amira Elghawaby

Amira Elghawaby est journaliste, spécialiste des questions d'équité et d'inclusion et défenseure des droits humains. Commentatrice fréquente des médias, elle a donné des présentations et des ateliers à une grande variété de publics.

Mme Elghawaby travaille actuellement comme directrice des communications stratégiques et des campagnes à la Fondation canadienne des relations raciales et est chroniqueuse pour le Toronto Star. Auparavant, elle a occupé des postes de communication au sein du mouvement syndical canadien et au Conseil national des musulmans canadiens, où elle a aidé à promouvoir les libertés civiles des musulmans canadiens et a travaillé sur des questions de droits de la personne. Elle a commencé sa carrière à la Société Radio-Canada où elle a travaillé et travaillé à la pige en tant que journaliste et productrice associée pendant 14 ans.

Mme Elghawaby possède une vaste expérience dans le soutien d'initiatives visant à contrer la haine et à promouvoir l'inclusion, notamment en tant qu'ancienne membre fondatrice du conseil d'administration du Réseau canadien anti-haine et ancienne membre du conseil d'administration du Silk Road Institute. Elle a rempli deux mandats en tant que commissaire de la Commission canadienne de l’expression démocratique du Forum des politiques publiques. Elle siège actuellement au Groupe consultatif sur la transparence de la sécurité nationale, un comité indépendant et indépendant qui conseille le sous-ministre de la Sécurité publique.

Mme Elghawaby est titulaire d'un baccalauréat ès arts (avec distinction) en journalisme et en droit de l'Université Carleton.

Mandat

La représentante spéciale chargée de la lutte contre l’islamophobie agit à titre de championne, conseillère, experte et représentante du gouvernement canadien, dans le but de renforcer les efforts de lutte contre l’islamophobie et de favoriser la sensibilisation à l’identité diversifiée et intersectionnelle des musulmans au Canada.

Le mandat de la représentante spéciale chargée de la lutte contre l’islamophobie est pluridisciplinaire et comprend ce qui suit :

Formuler des avis et des conseils à l’appui des efforts déployés par le gouvernement du Canada pour lutter contre l’islamophobie au pays;


Fournir des conseils visant à orienter l’élaboration de politiques, de propositions législatives, de programmes et de règlements qui pourraient toucher les Canadiens musulmans;


Fournir aux ministres des conseils et des avis visant à orienter et à améliorer les efforts de suivi et de surveillance des incidences de la haine et de la violence envers les musulmans partout au Canada;


Soutenir les efforts de lutte contre le racisme systémique et l’islamophobie par l’éducation et la sensibilisation du public;


Promouvoir la sensibilisation et la compréhension du public au sujet des communautés musulmanes au Canada en recadrant les récits et en combattant les stéréotypes, notamment en mettant en évidence des identités musulmanes diverses et intersectionnelles par la participation à des commémorations et à des événements publics;


Consulter activement les divers intéressés au Canada, y compris les différentes communautés musulmanes et d’autres parties prenantes, afin de faire progresser les solutions, les politiques et les mesures adaptées aux communautés;


Offrir des conseils aux ministres responsables afin de contribuer à la formation, à l’appui des organismes de sécurité nationale;


Promouvoir les activités du Canada dans la lutte contre l'islamophobie sur les canaux de communication officiels du gouvernement du Canada.

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Termes (quelques uns) utilisés dans le texte précédent qui servent de points d’ancrage au « message » que les canadiennes et canadiens reçoivent du bureau du premier ministre du Canada.

Lutte, Islamophobie, inclusion, défenseure, raciales, musulmans canadiens, musulmans canadiens, haine, inclusion, haine, lutte, islamophobie, championne, islamophobie, identité diversifiée intersectionnelle, musulmans, lutte, islamophobie, lutter, islamophobie, Canadiens musulmans, haine, violence, musulmans, lutte, racisme systémique, islamophobie, musulmanes, combattant, identités musulmanes diverses et intersectionnelles, événements publics, activement, communautés musulmanes, sécurité nationale, lutte, islamophobie.

On parle donc de lutte (6), de défense, de race, de musulmans (d’abord) canadiens (ensuite), de haine (3), d’islamophobie (7), de combat, de violence ainsi que beaucoup d’autres termes déclencheurs, auxquels nous avons été « sensibilisés » (harcelés ad nauseam) par les médias de gauche, suffisamment au cours des dernières années pour qu’il déclenchent chez le lecteur des réactions spécifiques, soient de méfiance, soient d'irritation, soient de silence, soient de révolte, soient de colère, soient aussi d'indifférence, soient de mobilisation politique et ce chez tous, les canadiennes et canadiens. Musulmans et autres.


Pourquoi ? Parce que ce poste permet une agression légalisée, systémique contre le peuple canadien au complet. Tous admettent que les actes de violence contre quelque personne que ce soit au Canada ne sont pas acceptables d’abord, puis que ces actes sont le fait d’une minorité de canadiens. Alors pourquoi cette offensive en règle contre tous les canadiennes et canadiens, au nom de l’islam. Pourquoi ne pas concevoir et transmettre un mandat de bâtisseur de ponts, de conciliateur, de pacificateur, pourquoi ne pas profiter d’un tel poste pour susciter des liens solides et durables entre les trois religions abrahamiques au Canada. Pourquoi ce langage agressif, belliqueux envers lequel tous les canadiennes et canadiens sont en droit de se sentir inconfortables, menacés, et de ne pas se sentir en sécurité aujourd'hui et à l'avenir. Pourquoi Trudeau et les musulmans (d’abord) canadiens (ensuite) nous font-ils la guerre de cette façon. Qu'espère-t-ils gagner ?


En quoi le fait d’enfermer le terme « musulmans » dans ce cocon de violence aide-t-il à faire progresser l’ensemble de la société canadienne?


Et comment ceci aide-t-il nos compatriotes musulmans à se sentir bien ici, chez eux, au Canada. Libres de vivre, penser et agir comme ils le veulent sans être encadrés de pseudo protecteurs qui ne cherchent qu'à les exploiter. Des musulmans qui comme chrétiens, juifs et autres du Canada sont libres de pratiquer très dévotement, peu, ou même de ne pas pratiquer du tout leur religion. Libres de laisser leurs enfants faire leurs propres choix éclairés. Libres du joug de l'état religion et sa police de rue qui envahit leur vie privée et bientôt celle de tous les canadiennes et canadiens, libres de manger et de boire comme ils le veulent. Libres. Libres. Affirmer et conquérir sa liberté ce n'est pas renier l'existence de Dieu.


Il faut regarder de près certains des termes utilisés. On parle du responsable comme d’un champion ! Qu’est-ce qu’un champion dans ce contexte ?C’est une personne qui soutient ou incarne parfaitement une conviction, une cause, une attitude. Un apôtre, un ardent défenseur, un partisan. Voilà ce que doit être ce représentant spécial du Canada de Trudeau, chargé de lutter contre l’islamophobie. Pas une personne de conciliation, de médiation, d’entente, de vivre-ensemble, non, un guerrier, un partisan, un apologiste qui entre en guerre contre tous ses opposants idéologiques et pire encore contre tous les sceptiques.


Ceci vient alourdire le sens du mandat. Qu’est-ce que le gouvernement Trudeau sanctionne et nous impose ici ? Un espèce de Jihad protégé par la police de Trudeau et par les nouvelles lois canadiennes et mené contre tous les canadiennes et canadiens ?


Comment un champion de l’islam peut-il bien devenir conseiller expert du gouvernement canadien ? Quelle logique a présidé à cette décision. Qui chez les libéraux du Canada a approuvé cette approche.


Revenons sur le mandat. Ce même champion devra


Fournir des conseils visant à orienter l’élaboration de politiques, de propositions législatives, de programmes et de règlements qui pourraient toucher les Canadiens musulmans;


Fournir aux ministres des conseils et des avis visant à orienter et à améliorer les efforts de suivi et de surveillance des incidences de la haine et de la violence envers les musulmans partout au Canada;


Des expressions chères à tous les régimes totalitaires. Suivis et surveillance. Nous y voilà. Le champion de l'islamisme conseillera l'état canadien au niveau de la surveillance des citoyens. Bienvenue au monde de la délation, de la méfiance, de la haine contre laquelle le gouvernement prétend lutter mais qu'il suscite, des polices de quartiers, de rues, de la pensée, de la religion.


Soutenir les efforts de lutte contre le racisme systémique et l’islamophobie par l’éducation et la sensibilisation du public;


Ceci implique que le champion, ou ses représentants, auront accès à modifier notre système d’éducation et de deviendront en plus via les médias gouvernementaux (SRC etc.) autorisé à endoctriner les citoyens les plus vulnérables, 24 heures par jour, 7 jours par semaine. À la maison, dans la voiture, à l’école, au collège et à l’université.


Promouvoir la sensibilisation et la compréhension du public au sujet des communautés musulmanes au Canada en recadrant les récits et en combattant les stéréotypes, notamment en mettant en évidence des identités musulmanes diverses et intersectionnelles par la participation à des commémorations et à des événements publics;


Ça continue et de plus belle. Voici maintenant le langage marxiste qui entre dans la partie et favorise une approche CRT (critical race theory) où l’analyse marxiste de notre société sera pratiquée par un champion de l’islam. Qu’est-ce qui cloche dans cet arrangement qui se retournera même contre les musulmans ! On va commencer par blâmer toute la blanchitude ? Le racisme systémique ? La suprémacie blanche ? La famille comme cellule de base ? La liberté des enfants à prendre des décisions sur leur sexualité au primaire ?


Offrir des conseils aux ministres responsables afin de contribuer à la formation, à l’appui des organismes de sécurité nationale;


Et maintenant, le BPM (bureau du premier ministre) donne accès à un apôtre, ardent défenseur et partisan de l’islam, aux organismes de sécurité nationale ! Pourquoi pas. Bonne idée non? Allons voir ce que couvre la sécurité nationale.

  • Sensibilité aux préjuges, diversité et identités en sécurité nationale

  • Lutte contre le terrorisme

  • La lutte contre la prolifération

  • Connexion avec les collectivités canadiennes

  • Infrastructures essentielles

  • Cybersécurité

  • Réunion ministérielle des cinq pays

  • Communication d’information ayant trait à la sécurité nationale

  • Engagement de transparence en matière de sécurité nationale

La personne responsable de la LUTTE active contre L’ISLAMOPHOBIE reprochée à l’ensemble du peuple canadien conseillera la Sécurité Nationale du Canada. Personne ne réagit ?


Promouvoir les activités du Canada dans la lutte contre l'islamophobie sur les canaux de communication officiels du gouvernement du Canada.


Ce poste de champion de l’islam fera du gouvernement du Canada, via son mandat, un instrument de l’islam politique en utilisant les canaux de communication officiels du gouvernement du Canada pour faire la promotion d’événements publics et de commérations célébrant l’islam. Sans oublier le recadrage qui nous sera également imposé, historique, psychologique et autres. Un peu comme ce que veut imposer à Jordan Peterson les psychologues ontariens, avec la bénéfiction du BPM. Rien de nouveau pour la SRC ni CBC mais c’est maintenant un mandat officiel. Une claque au visage de tous les canadiennes et canadiens.

Dans ce contexte la militante islamiste, activiste reconnue qu’est Amira Elghawaby n’a que peu d’importance. Toute personne qui occuperait ce poste présenterait le même profil. C’est ce poste et ce mandat qui doivent être annulés, cancellés, effacés. Maintenant. Faut pas s’en faire pour Amira Elghawaby, elle continuera à mépriser et haïr ailleurs ce ne sont pas les tribunes qui manquent pour clamer bien fort que tous les canadiennes et canadiens doivent faire profil bas devant cet islam politique. Dire qu’avant on s’entendait si bien avec les familles musulmanes, nos amis, nos voisins, nos consœurs et confrères de travail. Respect, culture et joie de vivre et échanger primaient.


Qu'on se réveille ! Au lieu de déchirer ses vêtements sur la place publique en demandant démission, excuses, ou quoi que ce soit d'autre Amira Elghawaby, regardons du côté de ce poste et de tout le mal qu'il engendrera dans la société canadienne.

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