COVID ce qu'on oublie
Dernière mise à jour : 16 févr. 2022
Tout ce que l'on voit, entend, lit semble être conçu pour développer chez la population une pensée unique qui coïncide parfaitement avec celle du gouvernement Trudeau.

COVID n’est pas qu’une pandémie et un drame planétaire. COVID c’est et même davantage une opportunité exceptionnelle de prendre un recul salutaire, en fonction des événements des dernières années, et d’accepter collectivement de revoir de fond en comble les assises de nos sociétés et leur fonctionnement.
“Nous n'étions pas préparés comme sociétés.”
Nous devrions le faire sereinement, intelligemment, en nous parlant avec respect et en nous écoutant les uns les autres avec patience et en essayant de nous comprendre les uns les autres, et non de préparer constamment des répliques pour tenter d’épater la galerie ou de gagner un argument. Nous ne sommes pas des politiciens ou politiciennes. Ne suivons pas les deux corridors étroits qu’ils ont conçus pour nous. Vrai, faux. Bons, méchants. Amis, ennemis.
COVID, des faits qui devraient attirer l’attention
Le Canada de Justin Trudeau a dépensé plus de 2,000,000,000$ en tests COVID depuis le début de la pandémie sans compter les dépenses qu’il a encourues pour l’achat de vaccins COVID et qui sont certainement supérieures à ce montant de deux milliards de dollars. Malgré ces vaccinations massives, en plus devrais-je dire, le Canada vit en confinement des fois oui et des fois non depuis des années maintenant.
Malgré toutes ces mesures, les hôpitaux rapportent régulièrement être encore débordés de patients, vaccinés ou pas. Le personnel est épuisé disent-ils, et plus la pandémie va durer, plus le système s’épuisera, plus les combattants tomberont au combat. Autrement dit, ce que personnel et ce que les administrateurs de nos hôpitaux cherchent à ne pas dire ouvertement, c’est que nous semblons nous diriger vers la catastrophe en tentant de combattre cette pandémie comme nous le faisons aujourd’hui.
Le fait que même les vaccinés doubles, triples et « boostés » puissent transmettre COVID à d’autres vaccinés doubles, triples et « boostés » et que ceci contribue à maintenir un taux d’hospitalisation trop élevé pour les capacités d’accueil des hôpitaux semble de plus en plus accepté comme opinion. COVID nous dit-on, est là pour rester.
Qu’est-ce qui taxe nos hôpitaux à ce point.
Les nombres de vaccinés ou pas, de protégés par des vaccins successifs ou pas, de testés ou pas, peuvent varier. Il faut comprendre que celui des personnes hospitalisées aux soins intensifs est celui qui taxe vraimentles ressources des hôpitaux.
On aura beau clamer que 90% de la population est vaccinée, que 99% de la population est vaccinée, deux, trois, dix, vingt fois, si le nombre de personnes hospitalisées ne diminue pas, ce succès de vaccination ne voudra rien dire pour les hôpitaux et surtout pour tout le personnel médical et infirmier.
Comme nous savons maintenant que les vaccinés continuent de transmettre COVID à d’autres vaccinés, on peut facilement imaginer que les urgences continueront de recevoir un volume sensiblement égal au volume actuel, et que les variations de volumes que nous voyons aujourd’hui continueront de se manifester même si toute la population était vaccinée et ce, tant que tous les gens les plus vulnérables n’auront pas été complètement éliminés. C’est donc dire que les hôpitaux continueront à être surtaxés.
Les responsables de la surcharge
Aujourd’hui le discours officiel accable les non vacciné(e)s parce que l’on clame qu’ils surchargeraient le système hospitalier.
Ce sont les victimes les plus faciles à désigner. On les regroupe toutes sous le même titre d’ANTI-VAXX, de COVIDIOTS, à remarquer ici qu’il semblerait que l’on ne reconnaisse pas l’existence de COVIDIOTES ce qui me semble sexiste, et par association de malfaiteurs, de racistes, islamophobes, suprémacistes blanc, et autres teignes qui menacent la santé publique. Les gouvernementaux vont jusqu’à encourager un segment de la population à prendre à partie l’autre segment, composé de ces gens dangereux qui osent choisir de ne pas être vaccinés pour un tas de raisons différentes, de façon à les forcer à entrer dans le droit chemin. Le premier ministre du Canada est un exemple de ce discours toxique à travers le mépris qu’il affiche dans ses points de presse à l’endroit de ceux qui ne partagent pas son opinion.
Les gens peuvent refuser d’être vaccinés pour des raisons médicales, raisons religieuses, scientifiques, parce qu’ils se méfient de toute nouvelle technologie et pour d’autres raisons encore, ou sans raisons aucunes, parce qu’ils sont simplement « malcommodes » par exemple. C’est leur droit dans un pays libre. Et non, je ne crois pas que ça menace la santé publique tant et aussi longtemps que nous reconnaissons tous en adultes responsables que COVID est une pandémie et que tous doivent être plus prudents qu’ils ne l’ont jamais été dans leurs échanges avec les autres. C’est tout.
Et les prochains ANTI-VAXX?
Je parlais plus haut du fait que l’achalandage dans les hôpitaux persistera tant que les toutes les personnes vulnérable n’auront pas été éliminées. C’est absolument horrible à lire n’est-ce pas? Pourtant ça résume bien la pensée de certains extrémistes parmi nous qui, aiguillonnés par les médias et malheureusement notre gouvernement fédéral de Justin Trudeau, sont prêts à tout pour trouver des responsables à exécuter et ce même si l’on sait très bien que ça ne règlera pas le problème!
Nous devons en parler parce que dites vous que demain, lorsque par exemple tous les non vaccinés l’auront été ou seront morts, et que les urgences seront toujours débordées, le discours officiel devra viser d’autre cibles pour expliquer son impuissance et pire encore, sa réelle incompétence. Il faudra trouver quelqu’un d’autre à blâmer.
Ces responsables sont déjà identifiés. Les médecins, les politiques, les médias « mainstream », dont le média d’état, ont déjà commencé à en parler. De façon insidieuse, mais bien présente. On parle de conditions pré-existantes qui rendent plus vulnérable à COVID, c’est à dire l’obésité, mais aussi les fumeurs, les gens aux prises avec des maladies incurables ou débilitantes. Des personnes atteintes du Sida. Du cancer. Du Parkinson. Et bien sûr, des vieux et vieilles toutes catégories confondues! Ce sont des gens qui sont les plus susceptibles de mal réagir à une infection COVID et donc de monopoliser des lits d’hôpitaux! On dira bientôt que tous ces citoyens et citoyennes en empêchent d’autres de subir des chirurgies. Parce qu’ils occupent des lits aux dépens « d’autres ». Vous voyez le portrait? On utilisant COVID pour éliminer graduellement tous ces gens, ne revient-on pas à un certain eugénisme du siècle dernier?
Les vrais responsables, les vrais coupables
On blâme bien fort les citoyens et citoyennes, toujours. On se garde bien de laisser le blâme se rapprocher des administrateurs d’hôpitaux, et des fonctionnaires et politiciens également incompétents. Ces mêmes gouvernements et administrateurs d’hôpitaux qui ont RÉDUIT depuis des années le nombre de lits et de façon dramatique alors que la population est en croissance constante, et qu’on nous rabat les oreilles à répétition avec le vieillissement de la population auquel on doit tellement se préparer à tenir compte, et donc à une demande accrue en hospitalisations, chirurgies et autres! Et ces mêmes gouvernements et administrateurs ont le culot de blâmer les gens réfractaires aux vaccins pour l’épuisement de ressources qu’ils ont eux-mêmes réduites de façon dramatique? C’est ça la politique. Un jeu de qui blâmera l’autre sans jamais rien changer. Peu importe le parti au pouvoir.
La réalité est la suivante. Nous sommes passés de 7 lits par 1,000 habitants en 1970 à 2,52 lits d'hôpitaux par tranche de 1000 habitants en 2019. Encore une fois, il faut le répéter, en dépit d’une croissance constante de notre population et, du vieillissement de notre population. Personne, absolument personne ne peut prétendre ne pas avoir été au courant de ces deux phénomènes. On les a simplement ignorés pour couper les dépenses et présenter des bilans favorables au moment des élections. Ceci a peut-être valu des étoiles dans le carnet d’évaluation des administrateurs d’hôpitaux, mais chez la population, ça ne cause qu’inquiétude, angoisses, en plus d’entrainer décisions déchirantes tant chez le personnel médical que chez la population.
Prenons un instant, juste un instant pour se poser la question. Est-ce qu’avec près de trois fois plus de lits d’hôpitaux disponibles, évidemment entourés du personnel habituel ce qui est tout à fait normal, est-ce que nos hôpitaux auraient pu faire le travail que l’on attend d’eux en pandémie sans surtaxer les employés de la santé? Sans temps supplémentaire obligatoire par exemple. Il faut oser poser la question. Parce que l’on connaît déjà la réponse et on sait très bien que ce ne sera jamais la réponse officielle.
Pourquoi certain(e)s refusent-ils ou elles le vaccin messagerARN (les vrais responsables 2).
En 2019, avant COVID, tout le monde est confortable avec la vaccination. Toute la vaccination. Il y a déjà eu plusieurs campagnes de vaccination massives qui ont fait leur preuve au cours des années. C’est raisonnable d’être à l’aise avec la vaccination. C’est normal. Les enfants sont vaccinés tous jeunes contre les maladies les plus dangereuses, et tout le monde est d’accord. On vaccine également contre le zona et bien d’autres plaies du genre.
On sait que de tous temps il y a eu des problèmes de réactions variant de bénignes à sérieuses à la vaccination, et même de décès dus à un vaccin. Et ça fait partie du processus. C’est dramatique oui, intolérable, oui, mais nous le comprenons. On a de la difficulté à accepter que ce qui est bon pour des millions puisse en tuer un ou une. Mais c’est la réalité. Comme une aspirine inoffensive pour tous peut parfois tuer une personne innocente. Ou un aliment, de la poussière, enfin n’importe quoi.
Nous ne sommes pas des imbéciles, nous comprenons tous la situation et nous avons appris à vivre avec nos limites et celles des vaccins.
Mais alors, d’où vient principalement la résistance à ce type particulier de vaccin qui doit nous protéger de COVID.
Tout a commencé lorsque les bonzes du parti démocrate américain ont mobilisé l’ensemble de leurs nombreuses et importantes relations aux États-Unis, au Canada et dans le monde pour articuler un discours alertant la population de se méfier de tout vaccin COVID parce que développé sous l’administration Trump et ce pour des raisons égoïstement et bassement politiques motivées par une soif de pouvoir absolument maladive.
Le parti démocrate américain, via ses oligarques, est à l’origine de cet extraordinaire dérapage, parce qu’il est le premier à avoir semé le doute sur le vaccin MessagerARN pour COVID alors développé par plusieurs pharmas en parallèle dans le cadre de « Operation Warp Speed (OWS), un partenariat entre l’entreprise privée et le gouvernement américain. Le problème de cette opération encore une fois est qu’elle est née sous Donald Trump, le némésis des oligarques démocrates. Joe Biden en tête de liste attaquait le vaccin, et Kamala Harris répétait ne jamais pouvoir avoir confiance dans un vaccin venant de Trump. Et la machine média des démocrates, soit la presque totalité des grands médias américains s’est mise à l’oeuvre avec les résultats que l’on sait. Avant cette attaque en règle contre un vaccin Trump, qui doutait des vaccins? Personne.
Ce que les démocrates dissimulaient alors c’est que les recherches sur un tel vaccin ont commencé au cours des années 60 !! Ce n’est rien de nouveau!! Les progrès se sont poursuivis au cours des années ‘70 et suivantes, mais la rentabilité, si importante aux grosses pharmas n’était pas au rendez-vous. Ceci dit des années, des décades d’efforts ont été investies dans cette recherche. Lorsque finalement et malheureusement, les conditions économiques favorisant le développement du vaccin messagerARN se sont présentées, on n’a pas commencé à zéro pour en arriver à découvrir un vaccin messagerARN miraculeux en l’espace de quelques mois. On n’a pas inventé le messagerARN en 2020. C’est absolument énorme que de le croire. Dans une société normale, où on n’aurait pas essayé de saboter un vaccin d’une telle importance parce qu’il serait produit et distribué sous Trump, personne, encore une fois, n’aurait pensé à en douter.
Mais voilà. L’année 2020 était une année d’élections aux États-Unis. Et les oligarques du parti démocrate, comme la gauche caviar américaine, comme Hollywood, croient qu’ils sont plus aptes, mieux instruits, plus riches et donc meilleurs que tous les autres citoyens, et qu’ils constituent au-dessus de tous, une royauté en quelque sorte à qui le pouvoir politique appartient de droit. Pour eux ce droit divin leur permet également de vivre avec une foi inébranlable en la maxime « la fin justifie les moyens ». Pour utiliser une autre expression, la raison d’état justifie absolument tout. Ils croient fermement qu’ils possèdent des privilèges auxquels le bas peuple n’a pas droit. Ils peuvent se permettre des abus de toutes sortes qu’ils cachent et défendent avec soin et c’est pour eux, normal. Ils constituent une caste à part. Supérieure. Qui connaît le bien et le mal mieux que quiconque et peut de ce fait aller de l’un à l’autre sans que leur vernis n’en soit jamais compromis.
Un adversaire politique devient dans ce contexte, une menace à leur pouvoir, à leur position dans la société. Donc un ennemi implacable, et personnel puisque le pouvoir leur appartient. Un ennemi à abattre de toutes les façons possibles, ce qui leur est permis du fait de leur royale divinité. C’est toute cette haine, cette envie, cette colère, ce sentiment de profonde injustice qui a motivé les oligarques du parti démocrate à semer le doute sur le vaccin messagerARN pour COVID. Ce même vaccin qui avait déjà été développé contre Ebola et que l’on considère développer contre le SIDA. C’est un vaccin nouveau au sens de son utilisation sur le terrain. C’est un vaccin prometteur qui est resté sur les tablettes faute de permettre aux grosses pharmas d’offrir à leurs actionnaires un retour sur investissement intéressant.
Peu importe! Les intellectuels, les politiques, les médias ont attaqué ce vaccin avant même sa sortie parce que c’était le vaccin Trump, le vaccin qui porterait Trump au pouvoir pour un deuxième terme, un épouvantable crime de lèse majesté s’il en est. Les oligarques démocrates ne pouvaient tout simplement pas accepter cette réalité. Ces mêmes personnes qui hurlent maintenant « croyez la science » ont alors tourné en ridicule et rejeté sans sourciller le travail de centaines, de milliers de scientifiques. Un travail colossal réparti sur près de 60 années parce que l’ennemi, Trump, était Président. Que des être humains souffrent de cette décision pendant des années ne constituait pas un facteur suffisamment important pour influencer la décision des oligarques démocrates, décision prise en pleine connaissance de cause.
Grâce à leurs relations auprès des grandes technologiques, des médias sociaux, et des médias gravitant autour du parti démocrate, les oligaraches ont réussi. Ils ont réussi à semer le doute chez une partie de la population, un doute qui s’est doublé de confusion lorsque Biden et Harris sitôt élus ont promis de rendre ce dangereux vaccin maudit disponible à tous les américains dans des temps record. La population au complet était en droit de se demander comment un vaccin aussi dangereux lorsque Trump est président devient-il un vaccin miracle lorsque quelques jours plus tard Biden est président et se vante de le distribuer comme ça ne s’est jamais vu avant. Il ne faut pas oublier que les oligarques démocrates ont également ridiculisé COVID à ses débuts. Au lieu de travailler sur une solution pour les américains, ils cherchaient à destituer Trump.
L’organisation mondiale de la santé, qui entretient d’excellentes relations avec les oligarques démocrates, disait que les investigations préliminaires des autorités chinoises ne pouvaient établir aucune évidence établissant que le virus pouvait se transmettre de personne à personne. Lorsque Trump a « fermé la frontière » avec la Chine, Biden s’est immédiatement attaqué à cette décision la qualifiant de xénophobe, et inacceptable. C’était en janvier. En février c’est au tour de Nancy Pelosi d’en remettre avec son infame sortie dans le Chinatown de San Francisco où elle déambulait sans masque et demandant à tous les spectateurs d’en faire de même. Plus tard en février et mars, un autre canon démocrate ridiculisait COVID. Le maire Bill de Blasio en entrevue minimisait les risques associés au virus mentionnant que le risque était minime et que de toute façon même en cas de contagion les personnes touchées ne seraient victimes que de l’équivalent d’un rhume ou une grippe entre autres énormités.
Ce sont ces mêmes intellectuels, médias et politiques démocrates qui accusent aujourd’hui les personnes réfractaires au vaccin et victimes de diverses théories de la conspiration d’être des ANTI-VAXX alors qu’ils ont eux même créé pendant des mois de propagande intense les conditions propices à cette résistance.
Comment peut-on blâmer une bonne partie du peuple de ne pas croire ces politiques qui leur ont menti pour s’approprier du pouvoir. Ces politiques qui ne vivent que pour accaparer le pouvoir et le conserver à tout prix pour eux, pour leur conception d’une société bien instruite, élevée dans de bonnes écoles, riches et où tout ce qui est col bleu est né pour un petit pain, mieux encore, né pour servir les oligarques, puis les riches, puis la collectivité et finir par se taire, privés du droit de parole.
Cette controverse autour du vaccin a entraîné à travers la polarisation du discours politique à laquelle nous assistons tous, une résistance qui n’aurait jamais existé autrement. Tout ça pour des raisons politiques. Uniquement pour des raisons politiques. Les responsables se sont aujourd’hui doublé d’accusateurs face au peuple résistant. Ces oligarques n’ont aucune morale et de ce fait, ne reçoivent plus que très peu de respect. Ceci constitue un risque important pour la démocratie.
Oui mais ça c’est les États-Unis
On peut croire que les raisons de résister au vaccin au Canada sont différentes. Après tout, les oligarques demreurent au sud de la frontière. C’est exact, nous sommes voisins des États-Unis. En réalité, nous sommes plus que des voisins. Presque tous les Québécoises et Québécois, Canadiennes et Canadiens ont franchi la frontière au moins une fois question affaires ou plus communément en vacances. On d’identifie en partie à nos voisins américains. Cette proximité présente des avantages et des inconvénients. Dans le cas de COVID, on peut dire que notre société a été contaminée par le discours des oligarques démocrates et par leur cousin du nord Justin Trudeau qui, il faut s’en souvenir n’a pas d’identité propre, et tient désespérément à appartenir à cette même oligarchie, cette pseudo noblesse sans valeurs qui croit que tout leur est du. Pouvoir politique inclus. Pouvoir de régner sur les autres inclus. Pouvoir d’être riches aux dépens des autres inclus.
Justin Trudeau utilise son obsession vaccinale comme il le fait avec son « féminisme », ou sa « sympathie » pour les Canadiennes et Canadiens qui ont la particularité d’être noir(e)s, ou alors bruns, ou alors hindous, ou alors sikhs, ou bien alors musulman(e)s, chacun séparément, dans sa petite case, chacun demeurant isolé dans son identité, tout comme il le fait avec la communauté homosexuelle ou transgenre. Il divise. Isole. Puis ensuite, il mobilise tous ces groupes et sous groupes en utilisant comme bouc émissaire les Canadiennes et Canadiens qui sont fondalement racistes, homophobes et transphobes. Le fameux racisme systémique que les oligarques lui ont si gentiment prêté.
Trudeau monopolise l’espace public en martelant vaccin, vaccin, vaccin pendant qu’il dépense des milliards sans en être responsable devant qui que ce soit. Sans qu’on sache exactement qui reçoit quoi et comment. Il agit exactement comme les démocrates le font aux États-Unis en ayant recours aux médias d’état et autres intéressés à obtenir leur part du gâteau. Il faut en être conscients. Nous ne sommes pas les États-Unis, mais vivons exactement le même phénomène.
Est-ce que les bonnes personnes sont aux bons postes
Devant ce phénomène préoccupant à tout le moins, on doit encore une fois oser poser la question. Est-ce que nos gouvernements et leurs fonctionnaires prennent les bonnes décisions pour NOUS. En d’autres mots, doivent-ils choisir entre la science, ce qu’ils proclament faire chaque jour plusieurs fois par jour, le gros bon sens qui ne semble pas avoir de place au niveau de la prise de décision, et les profits des grandes corporations qui contribuent à les porter et reporter au pouvoir, les « conseils » des employés de l’état qui savent menacer un politicien des pires désastres s’il ose ne pas suivre leurs recommandations, et la population. Notre système politique et gouvernemental nous a-t-il prouvé que le gouvernement Canadien était à la hauteur de nos attentes, ou bien n’a-t-il démontré élections après élections, parti politique après politique que ceux qui décident vraiment pour l’ensemble du pays sont quelques hauts-fonctionnaires grassement payés, jamais élus, en place pendant des vies entières, et qui ont effectivement plus de pouvoir au Canada que nos faibles politiciens perdus dans un monde qui va trop vite pour eux, où ils ne pensent qu’à ménager leurs chances de réélection et qui manquent chaque jour du courage qui leur serait nécessaire pour être en mesure de dénoncer cette situation.
Believe the Science !
C’est l’argument suprême. Avant on croyait en Dieu, maintenant on nous demande de croire de la même façon en la science et ses grands prêtres. Or c’est là une totale imposture. Un mensonge aberrant. Une perversion perfide du langage. On ne « croit » pas « en » la science. La science n’est pas une religion. Il n’y a pas de représentant suprême de la science. La Science n’est pas un espèce de nirvana où les grands prêtes se tiennent dans un état de pureté totale.
Non. C’est un discours dynamique au centre duquel siège le doute, un doute permanent, un doute moteur, qui appelle à toujours se remettre en question dans le but d’atteindre une certitude à la fois et sur laquelle on pourra bâtir tout en gardant à l’esprit que cette certitude pourrait être remise en question à tout moment. L’image la plus éloquente et ridicule à la fois de cette perversion du message de la science est celle du docteur Fauci prétendant qu’il “est” la science. C’est du délire. Qui peut oublier ses mots:
So it’s easy to criticize, but they’re really criticizing science because I represent science. That’s dangerous. To me, that’s more dangerous than the slings and the arrows that get thrown at me. I’m not going to be around here forever, but science is going to be here forever. And if you damage science, you are doing something very detrimental to society long after I leave. And that’s what I worry about.
En d’autres mots, ne me touchez pas, ne me critiquez pas parce que je représente la science (je suis la science) et si vous m’attaquez, ce n’est pas moi que vous attaquez, c’est la science. Puis il imite Jésus-Christ, avec des paroles “prophétiques” je ne serai pas sur terre pour toujours, mais la science, ma religion, elle, le sera. Ce discours qui pourrait être considéré comme sacrilège par certain religieux appartenant à certaines religions. Restons-en au niveau de la mégalomanie délirante.
La science est un outil merveilleux développé par l’humanité au cours des siècles pour l’aider à appréhender le monde qui l’entoure. C’est un outil. Pas un objet de culte. Cet outil est utilisé et développé chaque jour par des femmes, des hommes et par des corporations à profit. Elle n’est pas tombée du “ciel scientifique”. Alors la science comme toute autre activité humaine doit être sujette à examen, à vérification, à validation, à contestation, à évaluation, enfin vous comprenez certainement où je veux en venir. Une communication scientifique émanant d’une corporation multi-nationale n’est pas un livre sacré qui tombe du « ciel de la science ». C’est simplement un document proposé à une société. Sujet à être approuvé ou pas. Amendé ou pas. Corrigé ou pas. Le fameux « believe the science » qu’on entend ad nauseam est encore une fois une imposture. Cette expression encore une fois est contraire à la science, à l’esprit scientifique, qui est basé sur le doute, le questionnement, la validation et revalidation d’hypothèses que l’on formule et reformule. D’un cheminement vers la connaissance qui se fait pas à pas et qui repose sur le travail continu et ingrat de millions de personnes à travers le monde qui travaillent souvent dans d’obscurs laboratoires. Des personnes de toutes les nations, races, religions, croyances, langues, couleurs etc. etc. etc.. qui sont d’abord préoccupées par la découverte d’une vérité fuyant toujours plus loin devant nous.
Questionner la science ! Un droit ? Une obligation ?
Pourquoi remettre en question ou simplement questionner les déclarations d’hommes et de femmes de science. Est-ce raisonnable de le faire, et si oui, en vertu de quelle raison qui puisse être invoquée et reçue favorablement. Et bien d’abord parce qu’ils ou elles peuvent se tromper. De bonne foi. Ça arrive. Il est de notre responsabilité comme communauté de réduire ces occurrences. Au minimum. Il y va de l’intérêt de tous et de celui de la science elle-même. Alors il ne faut pas avoir peur de poser des questions, de douter. Ça ne peut qu’aider les personnes de science à se remettre en question, ce qui est normal, et rend leur profession si noble à la fois. Ensuite les personnes de sciences sont des humains comme nous tous. Alors ils peuvent être sujet à toutes sortes de travers, comme chacun de nous. Vouloir trouver une solution avant d’autres et pour ce faire tourner les coins rond. Vouloir publier et être reconnus. Vouloir recevoir ou maintenir des subventions de l’industrie ou du gouvernement ou pire une combinaison des deux. Être en butte à du chantage ou à de la coercition. Les personnes de science sont des personnes avant tout, pas des dieux, ni des anges. Ils ont les mêmes faiblesses que nous tous. Ce n’est pas les diminuer ou diminuer leur importance que de le reconnaître. Ce devrait au contraire être rassurant pour toutes les honnêtes personnes de science, la grande majorité, que de savoir qu’on les considère comme des êtres faillibles comme nous tous. Nos questionnements ne sont alors pas considérées comme des accusations, des menaces à leur intégrité, mais un processus normal à l’intérieur d’une immense équipe qui n’a à coeur que le bien commun.
Allons plus loin. Est-ce qu’une seule personne devrait se prononcer, être décisionnelle, ou même être le ou la porte parole unique sur les politiques ou moyens à adopter pour contrer une pandémie, ou en fait pour toute question médicale? Est-ce toujours sage en 2022. Ou devrait-on plutôt recevoir les conseils d’un groupe élargi de scientifiques de plusieurs domaines, y compris par exemple l’ingénierie l’administration, la physique et autres. Lutter contre une pandémie n’est pas que l’affaire de quelques spécialistes du domaine de la virologie même s’ils clament travailler non pas en vase close mais en équipes planétaires. Leur travail se fait en silos. Trouver une solution à un virus sans consulter les producteurs de matières premières, fabricants, distributeurs, donc chaînes d’approvisionnement, les systèmes hospitaliers, les formateurs, et évidemment les gouvernements, régulateurs et bien sur la population, relève de la pire imprudence. C’est promettre ce qu’on ne sait pas pouvoir livrer. C’est encourager les abus de toutes sortes. Hausses de prix, création de rareté, priorité aux élites et nombre d’autres aberrations du genre. Il faut se rappeler que nous sommes tous humains donc faillibles. Pas parfaits.
Tous ces spécialistes devraient avoir le droit de parler librement. Ouvertement. Et pas tenus au secret par des politicien(ne)s, fonctionnaires, ou hommes et femmes d’affaires. Les décisions prises devraient être présentées en collégialité, pas par un Fauci par exemple, qui parle au nom de tous.
Et la liberté de choix.
On sait que Trudeau a toujours clamé sur toutes les plateformes qu’il était en faveur du libre choix en ce qui a trait à l’avortement. Qu’il fallait respecter le droit de la femme à disposer de son corps. Il n’a cependant jamais parlé du droit de l’enfant à naître et vivre librement. Il semble que dans toute situation qui pourrait être considérée comme litigieuse, on doive tenir compte des deux parties, respecter les droits et responsabilités de toutes les parties. Toutes ça veut dire femme, homme et enfant. Or Trudeau fait abstraction de toutes les parties sauf, évidemment, comme il veut s’acheter le titre de féministe, le parti de la femme. Or chaque année l’avortement cause plus de décès au Canada que COVID depuis ses débuts. En moyenne 100,000 par année basé sur les 15 dernières années alors que COVID depuis février 2020 a entrainé la mort de 35,371 Canadiennes et Canadiens.
Comment peut-il être pro choix dans une situation qui implique on ne peut plus directement, la mort de 100,000 personnes par année, et se déclarer contre le même choix pour ceux qui ne veulent pas être vaccinés alors que COVID a causé au Canada 35,371 décès en 2 ans. Les non vaccinés n’ont-ils pas le droit également de disposer de leurs corps comme ils le désirent?
La CBC sous Trudeau a créé une émission à l’intention de jeunes enfants intitulée « Drag Kids ». On y présente des enfants dont l’âge varie entre 9 ans et 11 ans qui se donnent en spectacles en qualité de « drag queens ». Il existe une énorme différence entre drags et transgenre. Mais pour un enfant cette différence existe-t-elle réellement. Pas important. L’enfant a le « droit » de choisir de se donner en spectacle à des adultes et on parle de spectacles à connotation sexuelle.
De même un individu de sexe masculin a le droit de choisir de s’afficher comme une personne de sexe féminin ou le contraire. Il s’agit d’un choix personnel que l’on doit respecter. Ce qu’appuie également Trudeau.
Mais encore une fois cette générosité face au libre choix ne s’applique pas aux controverses entourant le vaccin messagerARN. En fait et en réalité mêmes si on les stigmatise en employant à leur égard le terme péjoratif anti-vaxx ou covidiot, une grande partie des gens qui résistent en ce moment au vaccin ne sont même pas contre le vaccin comme tel, mais plutôt contre l’obligation vaccinale, et contre le passeport vaccinal et ses conséquences sur nos sociétés.
Parle-t-on de deux poids deux mesures? Ou de confusion mentale. Lorsque le premier dirigeant d’un pays déclare ouvertement que son pays n’a pas d’identité fondamentale sans avoir consulté ses concitoyens, lorsqu’il déclare qu’on ne doit pas dire « mankind » mais « peoplekind », et autres interventions intempestives du genre, il agit comme s’il « était » le Canada, comme le fait Fauci en disant au peuple américain qu’il est « la science ». Trudeau semble être sous l’impression que tout ce qui lui vient à l’esprit a effet de loi. Bien que de son propre aveu il admire la dictature chinoise, peut-il aspirer à devenir l’empereur du Canada?
Il est beaucoup question de Trudeau et avec raison. Il est le grand responsable de la faillite COVID au Canada. Trudeau a acheté une propagande qui vient du sud parce qu’il s’agit du discours de ses partenaires privilégiés. Ce faisant il a préféré son club privé à son pays. Trudeau a dépensé des milliards avec une seule directive, vaccinez TOUT le monde, régulièrement. Une telle approche n’est pas Canadienne. Ni Québécoise. Sa campagne forçant tous les Canadien(ne)s à être vaccinée a créé encore plus de grogne. Son insistance à persister dans sa campagne et à utiliser l’intimidation et la coercition pour arriver au résultat non pas de protéger la santé des Canadien(ne)s mais bien de vacciner tout le monde a encore plus indisposé les Canadien(ne)s dont la tradition en est une de liberté.
Dès ce moment tout est devenu prétexte à opposition à Trudeau qui a favorisé par le niveau aberrant de politisation de chacune de ses actions le développement d’une situation apparemment inextricable et où il a divisé le pays comme jamais. Trudeau est responsable de cette situation. Son manque d’imagination, de vigueur, d’intelligence, de sensibilité au peuple Canadien, son manque de passion pour son pays ont fait le reste. Cette situation qu’il continue de laisser se détériorer serait déjà hors de contrôle dans tout autre pays que le Canada. Mais au Canada comme au Québec. On a des manières, une tradition, et oui, UNE IDENTITÉ. Alors on proteste en respectant les règles malgré tout. Mais on ne croit plus le gouvernement. On ne croit plus Trudeau. Alors les balises pour une rare fois dans notre histoire, sont menacées.
Sous Trudeau, les moyens soient devenus plus importants que la fin. Les apparences plus importantes que la réalité. Nos dirigeants sont totalement obnubilés par le concept de vaccination, dans le cas de Trudeau il répète sans fin son mantra (faites-vous vacciner) comme s’il était sous l’emprise d’un mauvais génie. Il vise toute la population peu importe les conséquences, peu importent les résultats. Il (et il n’est pas le seul de son culte) souhaite que tout le monde soit vacciné dans un premier temps, et dans un deuxième qu’ils soient revaccinés, puis dans un troisième temps, qu’ils soient boostés, et dans un quatrième temps, que les citoyens aient complètement abandonné l’idée de se poser la question sur le vaccin en question. Ce sera la norme. Le gouvernement décrétera combien de vaccins seront imposés pour mériter le droit de conserver son passeport. Faute de passeport, assignation à résidence. Interdit de mouvement. Et stigmate social.
Si on ne s’oppose pas au vaccin pourquoi s’opposer au passeport vaccinal.
L’acrimonie de nos gouvernements à s’engager sur le chemin qui mène à l’imposition d’un passeport vaccinal qui seul confère aux citoyens du pays le droit de circuler à l’intérieur de leur propre pays et qui fait de chaque citoyen un étranger chez soi devrait inquiéter toute la population. La liberté fondamentale de tout citoyen vient d’être effacée. Vous avez désormais besoin d’un passeport pour pouvoir vous déplacer chez vous. Qu’on y pense bien.
On ne doit pas s’attendre de nos gouvernements à des comportements hauts en valeurs morales. L’histoire du monde le prouve. Un passeport vaccinal électronique émis par un gouvernement qui a accès à toutes les informations de tous ses départements et ministères sur tous ses citoyens et qui possède déjà des liens fonctionnels avec toutes les grandes banques du pays est rapidement en mesure de rapidement développer et déployer le même passeport social qui existe présentement en Chine, un pays totalitaire dont le président est en poste à vie, qui n’a qu’un parti politique mais entretient l’illusion d’élections.
Le fait que nos gouvernements soient disposés à bafouer les droits fondamentaux de leurs concitoyens pour y arriver, leur fébrilité, leur empressement, leur sectarisme prosélyte considérant toute opinion s’éloignant de l’imposition du passeport vaccinal comme une hérésie, fille du racisme et de la misogynie de façon à faire taire tout soupçon d’opinion divergente, devrait éveiller chez nous un réflexe de méfiance. Leur déterminationà nous imposer la mise en place de la base d’un état totalitairedevrait nous amener à poser des questions sérieuses. Beaucoup de questions sérieuses.
COVID offre miraculeusement, ou pas si on saute dans l’univers conspirationniste, l’opportunité aux riches de devenir encore plus colossalement riches qu’ils ne l’étaient. C’est en fait pratiquement impossible à imaginer pour nous gens du peuple. Leur richesses ne se compte pas réellement en dollars bien que ces sommes soient énormes. N’oublions pas que ces gens contrôlent des corporations qui en contrôlent d’autres qui elles en contrôles encore d’autres qui emploient des millions de personnes. Ces riches, politiques, médias contrôlent le discours public officiel, l’emploi, les chaînes d’approvisionnement, la recherche scientifique, l’immobilier, l’industrie du diverstissement au complet, y compris les sports professionnels, et sont en mesure de corrompre absolument n’importe qui. Le seul pouvoir qui leur échappe encore pour le moment, est d’être en mesure de contrôler le peuple, cet empêcheur de tourner en rond. Ce peuple qui a encore dans certains pays, le droit de voter en utilisant un système honnête et intègre.
Les élections démocratiques. Cette détestable pratique populairequi force les riches à périodiquement engager des dépenses importantes pour remettre leurs pions en place au gouvernement. Or à part en trichant avec les processus électoraux, et encore, il leur est très difficile d’asseoir leur pouvoir pour une longue période. Et tricher est toujours un peu risqué. Alors la solution est d’éliminer les élections. Comme en Chine, et en Corée. Je refuse de mettre la Russie dans le même groupe. Je crois qu’il est impossible de soumettre le peuple russe. Ils peuvent sembler capituler, mais ce ne sera jamais le cas. Les russes le savent et leur gouvernement aussi. Alors les deux partis en sont arrivées à un équilibre relatif des forces. Un statuo quo. Mais la Chine a réussi. Pour le moment. Le PCC ne se cache même pas pour écraser son peuple à la face du monde. Cependant même en Chine la résistance existe comme Tangping, et Falun Gong et ce malgré les persécutions, et un “cancel culture” extrême. On ne peut indéfiniement faire taire le peuple.
Le passeport vaccinal géré par un Trudeau sous l’emprise de ses “conseillers” Canadiens, et autres, risque d’en devenir un de bonne conduite, et les gens verront leur libertés diminuer encore davantage. Cela se fera graduellement. D’abord l’ajout d’informations médicales complémentaires pour aider à contrôler la réponse à COVID, comme les pré-conditions déjà mentionnées. Dans l’intérêt des citoyens le gouvernement possédant toutes les données nécessaires et le pouvoir de mettre en force des politiques de santé publique pourrait exiger par exemple que tous les fumeurs cessent de fumer. Que les gens obèses suivent un programme d’amaigrissement dont le suivi serait fait par des fonctionnaires via le même passeport et on peut continuer. Ceci semble relever de la science fiction ? Donnez le pouvoir aux fonctionnaires et voyez ce qu’ils en feront.
Au début on avancera avec prudence pour ne pas effrayer les masses, puis on ajoutera graduellement des conditions à ce passeport. Par exemple, pour pouvoir être commerçant, ou pouvoir commercer, on devra posséder le passeport, de même pour voyager, pour travailler comme on peut déjà le constater. Un retard sur un paiement de l’un de vos comptes donnera une mauvaise note, une infraction au code routier aussi. Un embonpoint rapporté par votre médecin aussi, pour un locataire un paiement de loyer ne retard vaudra une mauvaise note. Oublier de mettre son chien en laisse. Un prêt bancaire impayé, un retard de paiement d’hypothèque, des factures d’électricité trop élevées… tout sera comptabilisé, itémisé. Oubliez les voyages si vos comptes ne sont pas payés. On vous dira à la douane, désolé payez d’abord vos comptes. Le “fly now pay later” auquel vous avez été habitué, c’est terminé. Vous croyez que c’est de la fiction ? Regardez ce qui se passe aujourd’hui en Chine. Nous aurons le choix. Accepter de s’agenouiller et de faire ce que les puissants nous ordonnent, ou alors de leur résister et être persécutés, isolés, intimidés, menacés ou pire.
C’est ce Canada que refusent d’accepter bien des Canadiennes et Canadiens à travers le rejet du passeport vaccinal. On regarde l’histoire et on voit comment progresse le totalitarisme. Mieux encore des Canadiennes et Canadiens nous le disent, clairement. Ils savent parce qu’ils ont vécu ce totalitarisme et sont venus ici pour y trouver la liberté comme d’autres l’ont fait et on rejoint les États-Unis, à la recherche de cette liberté si rare maintenant. Les amis démocrates de Trudeau se servent du Canada comme d’un laboratoire. Trudeau pousse les Canadiens à bout. On veut savoir jusqu’où aller trop loin. Ce ne serait pas la première fois qu’on utilise Canadiens et Canadiennes pour des expériences américaines. On n’a qu’à se rappeler ce qui s’est passé à Montréal dans les années ‘50 et ‘60. Des Québécoises et Québécois ont été utilisés comme cobayes. On les reprogrammait pour en faire des agents militarisés à l’aide de drogues et autres méthodes qui vous empêcheraient de dormir. Oui. Ici. Chez nous. À Montréal.
Que fait Trudeau, il accepte. Il va laisser la situation se détériorer jusqu’à ce qu’elle devienne intenable et alors fera appel aux grands gestes pour sauver .. ses minorités. Le reste, nous sommes tous partie du problème. Le racisme systémique c’est nous. Les homophobes c’est nous. Les transphobes c’est nous. Nous avons tous les torts. Plusieurs tomberont dans le panneau.
Et maintenant, ce sachant, qu’est-ce qu’on fait?
Évidemment tout ceci doit nous préoccuper. Nous devons agir oui, mais pas n’importe comment. Il faut éviter de tomber dans le piège de l’anarchie, ou des renversements insurrectionnels de gouvernements, ce qui on doit s’en souvenir, coûte toujours plus cher au peuple qu’aux élites, qui ont toujours les moyens de disparaître lorsque les situations se dégradent et revenir avec plus de pouvoirs encore lorsque la situation est revenue au beau fixe, ce qui n’est pas le cas de bon peuple qui continue à payer la note pendant des années.
Une chose est claire, nos sociétés doivent changer. Évoluer. Et à ce niveau faire un bond décisif vers l’avenir. Trouver d’autres façons de vivre ensemble. Découvrir des alternatives à des vies basées sur la consommation et la surconsommation. Penser en termes autres que monétaires. Développer des économies qui nous permettent d’échapper, justementà la tyrannie des système économiques. Considérer d’autres systèmes monétaires qui nous permettront d’échapper au carcan financier qui écrase la majorité des citoyens de tous les pays leur vie durant. Combien vivent avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête. Perte d’emploi, choc pendant 3 mois, réduction graduelle des dépenses, puis panique. Ce n’est pas une vie. Il y a autre chose pour l’humanité que de vivre pour faire vivre un système économique qui ne profite qu’aux plus riches. Qu’on soit au Canada, en Russie ou en Chine. C’est partout pareil. Le parti “communiste” chinois est une caste de privilégiés, comme le sont les millionnaires chinois alors que le peuple chinois vit désormais dans un carcan électronique qui permet d’éliminer rapidement toute dissidence. Communiste, socialiste, capitaliste, sont des termes qui ne veulent plus rien dire. Ce ne sont plus que des ploutocraties.
Pour réussir nos sociétés devont faire face à la difficile tâche de préparer de nouveaux dirigeants. Des dirigeants apolitiques, qui viennent des rangs du peuple et qui ne possèdent pas d’affiliations oligarchiques ou autres du même genre qui viendrait corrompre leur attachement au bien du peuple. Ils seront en mesure de resserrer nos rangs de façon à ce que tous les citoyens et citoyennes puissent ensemble, travailler à refondre systèmes, lois, et constitutions. Le temps des politiciens de carrière est révolu. Tout comme le temps des partis politiques traditionnels. Ils sont construits pour servir leurs propres intérêts d’abord pour répandre leur idéologie et obtenir ou conserver le pouvoir le plus longtemps possible. Quels qu’ils soient. Tous les partis politiques sont tous des corporations à but lucratif pour qui l’argent est le nerf de la guerre et qui visent conséquemment deux choses, financement et pouvoir.
Voilà où pourrait débuter la vraie révolution Canadienne. En écartant les financiers et grandes entreprises qui tirent les ficelles dans les corridors et officines du pouvoir. Nous pouvons tous constater où ça nous a mené. Canadiens et Canadiennes choisiront pour guider les destinées des provinces des personnes qui ont réellement à coeur les intérêts du peuple, des peuples et non celui des élites, castes et oligarques qui se comportent en vampires qui vivent en tirant profit de toutes les façons possibles du travail de chacun en prélevant des marges énormes sur biens et services qui génèrent encore plus de revenus aux gouvernements en taxes et impôts. D’autant plus que la gestion de ces impôts et taxes directes et indirectes est absolument nébuleuse. Savez-vous précisément où va l’argent de vos impôts ? Ces politiciens que nous élisons le savent-ils ? Ou toute cette gestion repose-t-elle dans les mains de fonctionnaire anonymes, non élus et en poste à vie ?
Et s’ils étaient remplacés par de bons gestionnaires, des gens ordinaires, pas colossalement riches, pas intéressés à devenir riches,et qui devront également renoncer officiellement à le devenir après leurs mandats, limités dans le temps, contre des promesses de rémunérations, compensations, emplois, cadeaux, faveurs et autres. Ce serait à eux de consulter des experts au besoin, et prendre leurs décisions en fonction des intérêts du peuple, exclusivement. Si nos oligarques actuels et leurs coursde serviteurs dévoués décident que leur pouvoir et leur enrichissement est plus important que le bien du peuple et ne veulent pas s’adapter à un monde changeant mais veulent au contraire travailler à en conserver le contrôle exclusif, alors tous leurs biens seront dans un premier temps nationalisés contre valeur raisonnable, avant d’être remis aux citoyens sous forme d’entreprises autogérées, et de coopératives.
Nouvelle façon de faire face à de nouveaux défis COVID
Au tout premier rang d’une nouvelle approche, il y a bien sûr la transparence au niveau des recherches scientifiques. Cette transparence va bien au-delà de la publication de recherches au niveau des communautés scientifiques. Ce n’est pas ça de la transparence, c’est au contraire l’utilisation traditionnelle d’un jargon pour protéger la magie des guérisseurs. Lorsque l’on parle de transparence, il s’agit de traduire ces publications régulièrement, dans un langage que peut comprendre l’ensemble de la population. Pas de manipuler l’opinion publique, non, vulgariser honnêtement et intégralement l’état de la recherche.
L’effet premier de cette transparence sera d’éliminer fondamentalement la plupart des théories de la conspiration qui proviennent et d’un manque d’information et des manoeuvres de politiciens, d’industriels et des très riches. Prenons l’exemple des vaccins MRNA. Si la transparence dont je parle ici avait été utilisée depuis les débuts de cette recherche il y a 60 ans de cela, personne n’aurait pu déclarer que ces vaccins miracles venaient d’être « inventés ». On aurait flairé l’arnaque. Le miracle des vaccins COVID n’est pas leur découverte récente, mais bien plutôt leur production et distribution massive dans des délais relativement courts. On nous a également menti sur l’efficacité de ces vaccins, et toutes les populations s’en sont aperçues. Ceci n’aide pas non plus à créer un climat de confiance envers les gouvernements. Personne n’est contre la vaccination personne n’est anti-vaxx, l’affirmer est ridicule. Nous sommes tous vaccinés depuis la naissance. Mais nous n’aimons pas le mensonge. Dire qu’un vaccin n’est pas efficace pour tous et peut entraîner des effets secondaires sérieux c’est agir de façon responsable. Et les populations le comprennent. De plus chaque citoyen peut alors prendre sa décision de façon réfléchie et responsable et non sous l’impulsion de théories fumeuses des deux côtés de la barrière.
Les scientifiques doivent déborder leurs cercles étroits et publier régulièrement des versions intégrales, honnêtes, et vulgarisées de leurs recherches. La recherche scientifique appartient à toute l’humanité et non seulement à certaines corporations à profit. Temps de laisser tomber les brevets surtout dans les cas majeurs. On ne parle de traitements prioritaires pour la survie de millions d’êtres humains. C’est absolument inqualifiable de compromettre la santé de ces millions pour être en mesure d’offrir de bonne projections à des actionnaires sans coeur et sans âme qui de la gauche donnent des millions à leurs fondations en s’assurant d’être reconnus comme bienfaiteurs de l’humanité alors que de la droite ils remplissent leurs poches. Cette hypocrisie est infecte.
Au Canada, on devra s’affairer à réparer les dégats énormes apportés par l’ère Trudeau au niveau de la qualité des rapports entre Canadiennes et Canadiens. C’est à dire retrouver le profond respect de la vie sous toutes ses formes qui a déjà été l’une des valeurs fondamentales du pays. C’est un changement de paradigme profond et qui sera long à instituer. Retrouver l’humanité du peuple Canadien de bons voisins, des gens accueuillants, généreux. Des gens près de la nature, des éléments. C’est un changement de perception fondamental mais qui nous amènera cette fois à un autre niveau de conscience. Il est grand temps de s’y mettre. Collectivement.